Enigme 62 : alpha = f(𝜉)

Voir : sommaire des énigmes , les cinq clés de la physique fondamentale  et l'éclaté du modèle Oscar.

Situation du problème

La constante de structure fien (
Voir  : modèle OSCAR, loi KOIDE-MAREAUSOMMAIRE , Les cinq clés de la physique, l'éclaté du modèledualité du zéro

.ℒ = Cte ; 𝛼 = f(𝜉). 𝜉, n =1 à 5 :  lP ƛo ƛₑ ƛ₁ Rp RBEC ;
𝜉 = 1,54×10¹¹ ; = mₑ ƛₑ²/ t
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Situation du problème


L'origine de la constante de structure fine (𝛼 = 137,035999) est une énigme pour le modèle standard . Elle se manifeste à toutes les échelles. Le modèle OSCAR explique cette constante comme étant le taux d'annihilation survenu sur le BEC-fossile saturé. Cette annihilation vient de la fusion des pôles de odys, sur la couche de rebroussement. Cette fusion s'est traduite par une accélération de masquage des charges dans un temps très court soit de/dt² ou di/dt. Cette énorme variation c'est traduite par un "court-circuit" entre pôles opposés sur le BEC et donc par une annihilation. Cependant, au fur et à mesure de l'élargissement des intervalles par l'annihilation, le di/dt a progressivement diminué ce qui a limité le taux d'annihilation à 𝛼. Ce taux est directement lié au nombre de odys synchronisés dans le BEC-fossile, soit 𝜉¹¹.       
 





- Sceptique : est-ce que le taux d'annihilation 𝛼 apparaît en même temps que le ratio 𝜉⁵ issu de la synchronisation du BEC-fossile ? 

- Non car le nombre total de odys synchronisés, 𝜉¹¹ est présent juste avant la saturation-annihilation. A ce stade, le ratio de chaque ℬody {amplitude / point zéro} est fixé à 𝜉⁵. Comme on l'a vu, le processus d'annihilation vient de la couche de rebroussement. En deçà, la vitesse différentielle non nulle tend à écarter les odys voisins de charges contraires, par la force de Lorentz. Mais le laps de temps d'arrêt nécessaire au rebroussement est soumis à la force (statique et attractive) de Coulomb. Tant que l'intervalle élémentaire est suffisamment grand,  les pôles n'ont pas le temps de se rapprocher pour fusionner entre eux. Quand cet intervalle devient critique, les pôles contraires fusionnent.

- Sceptique : oui mais ces pôles issus de odys différents ne peuvent s'annihiler entre eux ! 

- Exact mais la fusion revient à masquer les charges empilées ! Cela veut dire que l'annulation des charges e est progressive. Il y a d'abord un déplacement latéral : i = de/dt qui ensuite se réduit lors du masquage progressif des charges générant un très fort di/dt. Cette forte variation de courant revient à "court-circuiter" une grande partie des pôles (éloignés) de chaque ody

- Sceptique : pourquoi reste-t-il des rescapés ? 

- On a vu que l'annihilation provoque l'élargissement des intervalles élémentaires. Cet élargissement progressif se poursuit avec l'expansion qui éloigne les pôles opposés.

- Sceptique : si le nombre 𝜉¹¹ de odys avait été différent tout comme le ratio 𝜉⁵, aurait-on eu une alpha différent ?

- Oui car il y a forcément une relation entre le flux de fusion-élargissement (fonction de l'intervalle élémentaire critique) et la longueur des odys. Il y a eu une compétition entre le flux d'annihilation et le flux d'élargissement. Le ratio potentiel de première annihilation, représenté par (A+B)/3, vaut  137,041744... Il est légèrement supérieur à 137,035999183205. Le tableau montre que la correction définitive précise, est fonction du taux de mitose. 

Cette valeur numérique de  𝛼 se recoupe avec 14 chiffres significatifs à la mesure de l'anomalie du moment magnétique de l'électron (𝛼e dans l'axe de son d'erreur). Voir billet 52.

𝛼e = f(𝛼) = 1,00115965228085
  𝛼 = f(𝜉)  = 137,035999183205  
𝜉  = 1,54581988983860×10¹¹

Associée à cette signature  𝜉  (sans dimension) il y a l'entité ℳ.ℒ qui elle, dépend de deux unités arbitraires. Elles se réduisent à une seule si on choisit une intensité numérique égale à chacun de ses composants. C'est légitime puisque dépend de   et réciproquement. On a montré que tous les ratios découlent de 𝜉 et tous les paramètres physiques découlent de ℳ.ℒ 

 
          
   

Commentaires

  1. Dans ce tableau est résumé beaucoup d'énigmes résolues :

    1) l'origine du rayon classique de l'électron qui est 𝛼 fois plus petit que son rayon réel de Compton. En effet, l'énergie massique de l'électron impose ce rayon classique qui n'est pas vérifié par la mesure. Pourquoi ? Tout simplement parce que cette énergie à été déterminée sur l'aire du BEC-fossile, avant l'annihilation qui a élargit les intervalles élémentaires du taux 𝛼.

    2) La gravitation représente la force tangentielle coulombienne restante après séparation radiale des Bodys. Chacun peut vérifier qu'elle est 𝜉^4 fois moins forte que la force de Coulomb, à toutes choses égales.

    3) Ce 𝜉^4 intervalles tangentiels, comparé au 𝜉^3 intervalles radiaux, indique une anisotropie d'intensité 𝜉.

    4) Cette anisotropie 𝜉 est à la fois la cause et l'intensité de la mitose (1D).

    5) la mitose est liée à la suite de Fibonacci en 5+1 étapes liées à la fois à 𝛼^(5+1) et à 𝜉.

    6) la variable d'ajustement entre les deux est la masse brute du proton, exprimé en unité électron.

    7) la cause de l'annihilation est similaire au phénomène connu : "arrêt brutal d'un courant par l'ouverture d'un circuit inductif" appelé également courant d'extra-rupture. Le courant est donné par le déplacement des charges e dans les oscillateurs Bodys. Leur fusion-masquage-annulation locale, revient à une coupure brutale de courant.

    8) Les seules informations disponibles au début d'annihilation, sont les ratios 𝜉^11 et 𝜉^5 explicités dans ce billet. C'est donc ce qui caractérise le premier terme du polynôme du tableau.

    9) ce qui limite le taux d'annihilation c'est juste la conséquence liée à l'élargissement des intervalles élémentaires. Cela se fait en 1+5 étapes, au cours de la mitose d'intensité 𝜉.

    10) le nombre d' OR relatif à la suite '5+1), soit 8/5, apparaît partout dans les formulations du modèle Oscar et notamment dans le calcul du boson de Higgs.

    11) Une telle cohérence se renforce avec une cohérence numérique inédite à 14 chiffres significatifs.

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