Enigme 78 : la symétrie de l'univers

Voir  : sommaire des énigmes , les cinq clés de la physique fondamentale, l'éclaté du modèle Oscar, la dualité du zéro.
Ratios universels : 𝛼 = f(𝜉). série 𝜉, n =1 à 5 :  lP ƛo ƛₑ PZ RBEC.  𝜉 = 1,54 ×10¹¹ ; 𝜉² = mPlanck  / mélectron ; 𝜉³=RBEC / ƛₑ ; 𝜉 = EM / EG ; 𝜉 =RBEC/lP
L'anisotropie (tangentielle / radiale)  du BEC-fossile  𝜉 / 𝜉³ = 𝜉 déclenche la mitose-expansion des ℬodys.
La clé du ℬody : ℳ.ℒ = Cte
Le paradoxe de l'existence né de deux interdits : = 0 ; ℳ  > 0.
----------------------------
  
- Sceptique : le billet précédent a fortement critiqué le modèle standard en précisant bien qu'il ne fait pas l'amalgame entre les précieux expérimentateurs, qui décrivent au mieux leurs observations et les spéculateurs théoriciens qui prétendent comprendre mais qui éludent le fond, à savoir la justification de leurs prémisses. Le billet insiste sur le non respect par le MS, de la règle physique n° 1 : la symétrie. Au prétexte de ne pas observer de positrons stables, le MS l'a carrément négligé. Mais si le modèle Oscar se gausse de l'apparition "miraculeuse" voir biblique, de ces 12 particules, n'a-t-il pas le devoir – lui aussi – de justifier l'apparition d'une paire fut-elle symétrique de son état ? 

- Le tableau joint montre deux canaux nés à partir des fameux ℬodys . Ces derniers possèdent la forme fondamentale basée sur la symétrie dipolaire oscillante "". Cette forme justifie la notion d'existence potentielle de part sa capacité à induire un zéro parfait où les pôles opposés répondent à : M,L,T M,L,T = 0. Ils sont strictement annulés. Le dual du zéro physique est la symétrie dipolaire qui l'induit, alors que pour le zéro mathématique, c'est l'infini. Or l'infini est impossible en physique ! 

- Sceptique : cela n'explique pas l'apparition spontanée des ℬody 

- Très juste le tableau ne montre pas ce qui se passe avant l'existence de ces pôles synchronisés. Cela a été largement expliqué mais en voici un résumé : a) avant qu'une partie ne soit synchronisée dans un BEC, il y a un état permanent d'oscillateurs  stochastiques ℬodys ; b) ils sont forcés d'exister par la dualité intrinsèque des zéros. En effet le zéro mathématique est un attracteur puissant mais impossible pour l'inertie car il entrainerait une amplitude   infinie. Cette règle ℳ.ℒ = Cte est largement vérifiée (voir Compton). Cela veut dire l'existence est née de ce paradoxe où l'inertie n'a ni le droit d'exister ni d'atteindre le zéro absolu ! Ainsi, la nature n'a d'autre solution que d'osciller en mode dipolaire pour annuler les paramètres physiques aléatoires. Chaque cycle d'oscillation suit la loi de l'impulsion de Dirac, avec les deux paramètres : ℳ.ℒ = Cte. Il ouvre un choix aléatoire et infini, de d'origine, au point "zéro". Cela crée autant de cycles d'amplitudes , différents les uns des autres.  

- Sceptique : donc il existe un état physique d'univers permanent qui matérialise le néant comme un brassage stérile où rien n'existe vraiment ?  

- C'est exactement cela sauf que la stérilité n'est pas absolue. Elle a une probabilité – extrêmement faible mais non nulle – de devenir fertile mais en partie seulement.  

- Sceptique : comment la stérilité devient fertile ?

- Par la synchronisation : le brassage intense dans un temps potentiellement infini (il ne s'écoule pas car M,L,T = 0) ne peut que déboucher sur des poches de synchronisation. Cela forme des en-cours de formation de BECs. On montre pourquoi un seul arrive à saturation et de ce fait, entre en mitose. 

- Sceptique :  le déclenchement de la mitose est la fameuse réduction de localité se produisant sur la seule couche externe du BEC-fossile ? 

- Oui le tableau montre que les pôles séparés, passent de l'état "oscillateur dipolaire" où les masses opposées s'annulent, à l'état "monopolaire" où les masses empilées ne s'annulent plus. Nous proposons cet opérateur pour signifier le passage d'une forme à l'autre : { }. Cet opérateur (réversible) révèle donc le continuum masse-espace-temps.  

- Sceptique : on comprend que ℳ.ℒ = Cte puissent sortir de la moyenne du lot synchronisé  mais comment justifier l'apparition du temps ?  

- C'est la moyenne de la période de chaque ℬody du lot synchronisé. On a montré ici comment la période (temps) découle de ℳ.ℒ = Cte.     

- Sceptique : dans le tableau, que représente la ligne du haut appelée niveau subquantique ? 

- La ligne du haut représente l'immense majorité des ℬodys tissant l'espace-temps. Toute perturbation qui altère la symétrie par une réduction de   génère une extraction de soit sporadique (boson) soit durable (habillage virtuel, effet relativiste, etc...). De plus, cette altération s'interprète comme un gradient de courbure du tissage de l'espace-temps. C'est ce gradient qui porte la médiation des forces. Ces dernières – dont la gravitation – sont toutes des composantes dérivées de la force électrique : e² = f(ℳ.ℒ).  

- Sceptique : lorsque le neutron se transforme en proton, pourquoi appelle--t-il fugacement le boson de jauge W ? 

- Il y a deux raisons : a) le réarrangement de ses couches neutres crée un déséquilibre dans les ℬodys car chaque couche (électron-positron) est couplée avec un pôle subquantique ; b) l'émission du neutrino passe par la transformation "monopolaire en couches" → "oscillation dipolaire opposée",  soit : { }. Le canal 1D du couplage 𝜉 s'exprime dans les couches 2D par le taux k √𝜉. Pour k = 2/5 → W ; k = 5/8 → H et k = 1 correspond un boson max à ~ 200 GeV.

- Sceptique : pourquoi la seconde ligne révèle la masse, l'espace et le temps au travers de l'opérateur { }? 

- C'est la conséquence de la  réduction de localité des ℬodys dont ses propres pôles ont été séparés et remis en interaction locale avec des pôles d'autres ℬodys. C'est parce qu'un pôle seul ne peut pas s'annuler, que la masse – auparavant masquée – se révèle ! Seules les charges empilées sont masquées dans la partie neutre d'un neutron ou proton. Cependant, comme les intervalles inter-groupes sont polarisés, ils induisent les quarks. 

- Sceptique : on comprend bien la ligne des particules générées mais pourquoi le positron stable (clé de la symétrie) reste toujours confiné.  

- Il faut en effet bien insister sur le caractère de stabilité-localité sans lequel on ne peut rien comprendre ! La disposition monopolaire génère de facto, une asymétrie de nature géométrique. Le hasard a choisi de disposer le positron plus au centre (une chance sur deux !). Cela s'est généralisé par le biais d'une polarisation {quantique/subquantique}. C'est la raison pour laquelle seul un électron (stable) peut-être à l'état libre ! Par exemple, un muon + peut rejeter un positron mais son mode locale de création, le rend instable. 

La symétrie de l'état "oscillateur dipolaire" est fondamentale car elle masque les deux masses opposées (électron + positron). La non symétrie de l'état "monopolaire" confine le positron, arbitrairement placé plus au centre. Dans touts les cas, la symétrie globale est strictement respectée.
  

                         

Commentaires

  1. Il faut bien noter que la réduction de localité est TOUJOURS un passage subquantique→ quantique. Elle s'accompagne TOUJOURS d'un changement d'état : dipolaire (masse annulée) → monopolaire (masse révélée).

    RépondreSupprimer

Enregistrer un commentaire

Posts les plus consultés de ce blog

L'atome Schrödinger-Oscar

La Bulle Univers est un trou noir

D'où vient la fameuse constante de structure fine = 1/137,03599.. ?