Enigme 84 : la localité et le principe cosmologique

Voir  : sommaire , les cinq clés de la physique, l'éclaté du modèle, dualité du zéro.

Ratios universels : 𝛼 = f(𝜉). Série 𝜉ⁿ, n =1 à 5 :  lP → ƛo → ƛₑ → PZ → RBEC.  𝜉 = 1,54 ×10¹¹ ; 𝜉² = mPlanck  / mélectron ; 𝜉³=RBEC / ƛₑ ; 𝜉⁴ = EM / EG ; 𝜉⁵ =RBEC/lP ; ℏ = mₑ ƛₑ²/ tₑ
Anisotropie (tangentielle / radiale) du BEC-fossile :  𝜉⁴ / 𝜉³ = 𝜉 déclenche la mitose-expansion des oscillateurs  ℬodys

Le ℬody suit la loi de Compton : ℳ.ℒ = Cte

paradoxe existentiel né de deux interdits : ℳ = 0 ; ℳ  > 0
Point zéro ℬody impulsion de Dirac canonique ∫∂(ℳ) dℒ = 1
Les pôles s'annulent selon l'identité d'Euler : e^iπ + 1 = 0. 
L'aspect algébrique de ℒ permet la symétrie :  ℳ.ℒ' +ℳ.ℒ = 0
l'opérateur dipolaire→monopolaire révèle les pôles {↔ ⇴ ↻}
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- Sceptique :  On peut lire dans Wikipédia ceci : " Le principe cosmologique d'homogénéité et d'isotropie est l'hypothèse aujourd'hui généralement considérée comme vérifiée selon laquelle l'Univers est spatialement homogène, c'est-à-dire que son apparence générale ne dépend pas de la position de l'observateur. Il a pour conséquence que l'Homme n'occupe pas de position privilégiée dans l'Univers, en opposition avec la théorie géocentrique  (aujourd'hui abandonnée), mais en accord avec le principe copernicien. En pratique, le principe cosmologique présuppose aussi que l'Univers est isotrope, c'est-à-dire que son aspect ne dépend pas de la direction dans laquelle on l'observe (par exemple son taux d'expansion ne dépend pas de la direction)". Est-ce compatible avec le modèle en couches d'expansion ? 

- De récentes observations démentent le principe d'isotropie. Elles ont révélé une anisotropie dans l'accélération de l'expansion. Ce principe fait un raccourci simpliste entre : "pas de position privilégiée" et "rejet du géocentrisme". Ce rejet péremptoire oublie la possibilité d'une expansion en couches d'expansion qui apporte une quasi isotropie en parfait accord avec l'observation récente. Ce modèle permet – à partir de (presque) toutes les localités – de voir la fuite des galaxies avec une quasi isotropie. 

- Sceptique : et le principe de dualité de localité ? 

- Il est fondamental car si on  peut admettre que toutes les localités sont quasi-identiques, le raisonnement doit intégrer un lieu d'origine où toutes les localités ont été réunies et séparées, à l'origine. C'est la fameuse réduction de localité originelle induite par la saturation du BEC-fossile. Elle a généré la mitose qui est l'impulsion première de l'expansion. 


- Sceptique : quel est le problème de l'origine pour le modèle standard (le MS) ? 

- Il suffit de lire les mots employés : Le MS parle de l'Univers comme un élément unique fondateur alors que le modèle Oscar évoque la dualité : "Bulle-Univers incluse dans une matrice stochastique, permanente et non connexe". Le MS part d'un Big Bang mystérieux né d'une "fluctuation quantique" dont l'origine est de l'ordre du mystique car non justifiée. En revanche le modèle Oscar explique et décrit via l'impulsion de Dirac, l'obligation de la nature d'avoir des éléments oscillants entre deux interdictions concernant le principe d'inertie : M > 0 ; M = 0. Plus généralement le monisme l'emporte sur le dualisme. Le "OU" l'emporte sur le "ET" alors que toutes choses sont  liées et donc associées. 

- Sceptique : le tableau montre une bulle avec des bords. Comment est-ce possible ?

- Chaque BEC est un condensat d'oscillateurs ℬodys synchronisés dont l'amplitude est strictement maîtrisée. Ainsi les BECs enchevêtrés de la dernière couche, forment un bord qui matérialise la transition entre la matrice stochastique (oscillateurs non synchronisés) et la bulle en expansion.

L'immense et unique trou de l'éridan – situé à ~7 Gyl – et la légère anisotropie de l'accélération, sont deux indices factuels et forts qui confortent le modèle en couche. De plus, l'énigme de l'accélération (les couches locales) est ici totalement expliquée.