Enigme 55 : Amalgame sur la dualité de localité

Voir  : sommaire des énigmes , les cinq clés de la physique fondamentale  et l'éclaté du modèle Oscar.



- Sceptique : le modèle standard pose une nette dichotomie entre les fermions et les bosons de jauge alors qu'ici ils sont présentés comme ayant une origine commune. 

- le modèle standard s'appuie sur de vielles lunes en présentant les quarks comme, je cite : "... particules élémentaires (....) qui s'associent pour former les hadrons comme les protons...". C'est une erreur fondamentale pour plusieurs raisons : a) dans le proton, la somme des quarks (2u +d) représente ~ 17,24 unités électrons alors que le proton en compte 1836,15 ; b) les quarks – instables à l'état libre – ne peuvent être des particules élémentaires et sont donc induits dans les protons. En revanche la force forte du modèle standard est bien issue de particules électriquement neutres. Mais les naïfs "gluons" (bosons de jauge), n'apportent aucune explication physique non seulement à l'existence de la force forte mais encore moins ce que l'on appelle sa liberté asymptotique. Une méthode purement mathématique invente les "charges de couleur" typiquement neutres, pour décrire (pas expliquer) un scénario où des gluons seraient la cause de la force forte.  Épistémologiquement cette démarche vient de l'adoption – au début du siècle dernier – d'un grave amalgame portant sur la notion de dualité de localité. Ce terme est encore largement tabou aujourd'hui (voir la totale incompréhension des expériences d'intrication portant sur la non localité).

- Sceptique : peut-on avoir un rappel sur cette notion si fondamentale de dualité de localité

- Au début du siècle dernier on a (à juste titre) pris conscience du flou apporté par une vue trop globale de la physique. On a décidé d'apporter de la rigueur en se concentrant sur la notion d'expérimentation. Les réalités expérimentales devenant ainsi les seules bases tangibles du raisonnement scientifique.

- Sceptique : ce fut une bonne chose non ?

- Certainement d'autant que l'on s'est alors interrogé sur la notion de localité ! On a dit alors que toutes les localités étaient réputées les mêmes.

- Sceptique : et c'était une erreur ?

- Non car en effet, toutes les localités se valent. 

- Sceptique : alors où est l'erreur ?

- Ce type d'extension de localité pour tenter de généraliser à tout l'univers est strictement fausse ! Ils ont fait l'amalgame entre le principe de "non localité" et l'équivalence des multi-localités. La "non localité" est en fait une terminologie abusive de "localité élargie".  La dualité de localité est liée à la cause profonde de la mitose primordiale. Exemple : lorsque les pôles des odys (amplitude élargie) ont été séparés (relocalisés) chacun en vis à vis du BEC fossile, ils sont devenus des paires électrons-positrons. En termes simplifiés on peut dire qu'il s'agit d'une "création non locale" très différente de la création locale d'une paire électron-positron. 

- Sceptique : en quoi sont-elles différentes ?

- On vérifie que la paire créée localement est instable et s'annihile aussitôt ! Cela est très différent sur le BEC-fossile, car les paires voisines ne sont pas appariées. Le pôle contraire de chacun des éléments, est situé à l'opposé sur le BEC. Ainsi les paires créées sont strictement stables puisque séparées de leur alter ego ! A cause de ce fâcheux amalgame, on a posé une dichotomie entre fermion et boson dont la validité n'est que locale ! C'est pour cela que l'on a rejeté l'idée qu'un proton puisse être composé de paires électron-positrons. On a donc renoncé au proton physique au bénéfice d'un proton mathématique...

- Sceptique : Mais on ne voit jamais de positron stable !

- Là encore il y a un piège : on a vu que la fusion primordiale en proton-neutrons, comportait une partie neutre majoritaire (faite de couches empilées de polarités contraires) et d'une paire célibataire où le positron occupe plutôt le centre.  Cette positron issue du hasard s'est généralisée. Elle a polarisé le "vide" en fait le tissu subquantique. 

- Sceptique : alors d'où sortent les positrons instables émis par certains atomes ?

- La réponse est claire : a) les positrons stables sont confinés à jamais ; b) l'instabilité des positrons émis, signe une création locale dans une fluctuation interne à l'atome !

- Sceptique : mais alors que devient l'électron instable de la paire ainsi créée  ?

- On a montré que dans cette création locale au sein de l'atome, l'électron instable migrant dans l'atome était contraint d'échanger son statut de stabilité – par effet tunnel – avec le premier électron rencontré par le positron à l'extérieur de l'atome émetteur. Ainsi on constate que l'électron extérieur – réputé stable – perd ce statut puisqu'il s'annihile effectivement avec le positron. Toutes les autres explications sont incohérentes. Le lien : instabilité = localité est toujours vérifié. 

- Sceptique : Sur le BEC-fossile, à petite échelle, il y a la fusion en neutron-protons dans toutes les localités mais que se passe-t-il à grande échelle ?

- En fin de mitose il y a en 1D, 𝜉 BEC-étoiles qui chacun forme un angle très faible  de tangente : = f(𝛼²/𝜉). Ce taux d'annihilation est assez faible pour ne pas corrompre l'harmonie des paires électron-positrons mais influe très légèrement sur leur moment magnétique.       


            
                       


Commentaires

  1. Quand localement, on injecte l'énergie d'une paire électron-positron, on extrait (ou relocalise) du niveau subquantique, un Body muni de ses deux pôles de charges contraires. Cela revient à une réduction de localité des 2 pôles d'un MÊME Body qui étaient auparavant très éloignés l'un de l'autre. Ainsi réunis, ils ne peuvent donc que s'annihiler !

    Alors que la création initiale sur le BEC-fossile, vient de la séparation (délocalisation) des pôles, chacun issu d'un même Body. Mais les pôles voisins (alternés et de charges + et –) sont tous de Bodys différents. Chacun des pôles est séparé de son alter ego, situé à l'opposé, sur le BEC-fossile. Donc contrairement à une création locale, ils peuvent fusionner en neutron-protons sans s'annihiler.

    Ainsi la répartition angulaire à l'échelle du groupement en galaxies, porte en elle potentiellement, un taux d'annihilation partielle. Quand deux galaxies d'origines différentes, se rencontrent, l'annihilation partielle corrompt l'harmonie des paires élémentaires de la matière qui devient une sorte de gravats non harmonique ! C'est la matière noire.

    La création locale annihile la paire à 100% alors qu'ici le taux d'annihilation dépend de l'angle relatif (< 10%) . Une paire électron-positron faisant 90% de sa masse, perd son harmonie avec le niveau subquantique et perd donc sa capacité à fusionner en proton-neutron.

    Le modèle standard cherche des explications farfelues dès qu'il apparaît une nouvelle énigme, alors qu'ici la DM découle directement de la base du modèle Oscar, sans hypothèse supplémentaire.

    RépondreSupprimer

Enregistrer un commentaire

Posts les plus consultés de ce blog

L'atome Schrödinger-Oscar

La Bulle Univers est un trou noir

D'où vient la fameuse constante de structure fine = 1/137,03599.. ?