Enigme 86 : la constante cosmologique (2)

Situation du problème

Les différentes missions pour observer le fond diffus (CMB) cherchent à départager les différents modèles. Cependant l'outil d'analyse repose sur des hypothèses qui elles-mêmes dépendent d'un modèle. Ce modèle dit de concordance repose sur des hypothèses dont celle de la mono-connexité et celle du principe cosmologique. Or ces deux derniers principes (simplistes) sot démentis par les dernières observations. Il manque une cohérence reposant sur une explication globale visant l'émergence de la Bulle-Univers. Seul le modèle en couches (MEC) introduit la dualité de localité et se confronte à toutes les énigmes sans en éluder aucune. Il vient que les immenses progrès en technologie d'observation, ne débouchent que sur de nouvelles énigmes. Ainsi les prémisses du modèle standard reposent sur l'hypothèse à l'échelle de Planck, où des fluctuations "magiques" et injustifiées sortent du néant....          

- Sceptique : le dernier billet (énigme n° 85) explique qu'il n'y a pas naïvement une accélération de l'expansion de l'univers, mais juste une accélération des couches locales. Le modèle MEC indique que la vitesse moyenne d'expansion (2,5 c) ralentit comme il se doit sous l'effet de la gravitation. L'accélération des couches en avance (5 c), ralentit car l'attracteur global est matérialisé par les couches moyennes. Mais comment estimer le taux moyen d'accélération des couches en retard ?

- En appliquant la formule classique de la gravitation avec Rf = 296,5 Gyl, on obtient l'accélération moyenne. On vérifie ensuite que ce rayon optimal répond bien à la formule classique de type : e = v² /2 𝛾. On tire le rayon actuel R(t) = 134 Gyl.

- Sceptique : et le rayon de notre horizon local ?

- Il suffit de se reporter au billet n° 81 qui donne un horizon à deux fois 13,8 = 27,6 Gyl. En comparant l'aire de la boule actuelle et l'aire de l'horizon, le tableau montre un ratio de 1/91. Cela veut dire que le nombre de galaxie initiales 𝜉, est réduit de ce taux, ce qui donne 1,7 milliards.

- Sceptique : le CMB devrait donner un indice de type multi-connexité du nombre de sphères galactiques originelles ?

- Selon cette source, ce nombre de 1,7 milliards,  pourrait bien correspondre à ce qui est considéré comme 1,7 milliards de  modes vibrationnels sphériques.                

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Voir  : sommaire , les cinq clés de la physique, l'éclaté du modèle, dualité du zéro.
Ratios universels : 𝛼 = f(𝜉). Série 𝜉, n =1 à 5 :  lP ƛo ƛₑ PZ RBEC.  𝜉 = 1,54 ×10¹¹ ; 𝜉² = mPlanck  / mélectron ; 𝜉³=RBEC / ƛₑ ; 𝜉 = EM / EG ; 𝜉 =RBEC/lP ; = mₑ ƛₑ²/ t
Anisotropie (tangentielle / radiale) du BEC-fossile 𝜉 / 𝜉³ = 𝜉 déclenche la mitose-expansion des oscillateurs  ℬodys
Le ℬody suit la loi de Compton : ℳ.ℒ = Cte
paradoxe existentiel né de deux interdits : = 0 ; ℳ  > 0
Point zéro ℬody selon impulsion canonique de Dirac ∂() d = 1
Les pôles s'annulent selon l'identité d'Euler : eiπ + 1 = 0. 
L'aspect algébrique de permet la symétrie :  ℳ.ℒ' +ℳ.ℒ = 0
l'opérateur dipolaire→monopolaire révèle les pôles { }
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Commentaires

  1. Bonjour Mr Mareau,
    - il y a une erreur de frappe dans la dernière ligne du tableau: Xi=154 milliards de galaxies primordiales (et non 1,54 milliard).
    - le rayon Rf=296 Gly correspond au rayon final de l'expansion moyenne qui se fait actuellement légérement inférieure à 2,5c. A ce moment là, l'expansion moyenne sera égale à zéro. Mais cela ne veut pas forcément dire que les couches en retard auront rattrapé les couches en avance en termes d'accélérations.
    En effet, sous l'effet de la gravitation, les couches en avance peuvent avoir décéléré jusqu'à zéro et même avoir entamé une contraction de la limite périphérique de la bulle univers. Et si la vitesse de contraction des couches en avance égale la vitesse d'expansion des couches en retard, alors l'expansion moyenne devient nulle !
    - Cela voudrait dire également que toute la matière "restante" (noire ou ordinaire) se rencontrera tôt ou tard avec un angle d'annihilation optimal (=pi).
    - mais je suppose que ce scénario ne tient pas la route...

    Joyeux Noël

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  2. Merci cher LC pour m'avoir signaler la coquille qui est maintenant corrigée.

    Oui les couches en avance doivent forcément ralentir plus fort que le ralentissement moyen. En revanche on peut dire que la rétractation ne serait être totale car en effet, la matière – alors toute annihilée – ne sera donc plus là pour alimenter la force gravitationnelle.

    Joyeuses fêtes



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