Enigme 117 : constante magnétique du "vide" et électron

Voir  : modèle OSCAR, loi KOIDE-MAREAUSOMMAIRE , Les cinq clés de la physique, l'éclaté du modèledualité du zéro

ℬodys →.ℒ = Cte ; 𝛼 = f(𝜉). 𝜉, n =1 à 5 :  lP ƛo ƛₑ ƛ₁ Rp RBEC ;
𝜉 = 1,54×10¹¹ ; = mₑ ƛₑ²/ t
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Situation du problème

Le modèle standard décrit fort bien l'électromagnétisme par les équations de Maxwells mais n'explique pas la médiation des forces dans le "vide". Si l'aimantation dans les matériaux est bien expliquée par l'orientation des spins, on n'explique pas la médiation du "champ" magnétique dans le "vide". Le terme "champ" à été inventé pour éluder le mystère du "vide". On continue d'employer le mot "vide" pour éviter de détailler la structure intime et élémentaire de l'espace-temps. On considère qu'il est continu, connexe et inné, comme par magie ! La constante magnétique du "vide" s'exprime en Tesla m/A. Elle était unitaire dans le système c.g.s et vaut 10⁻⁷ dans le système M.K.S.A . Le modèle Oscar montre comment l'espace 3D est constitué d'un ensemble d'espaces 1D de ℬodys connectés au centre de chaque BEC. Le tableau montre que sa source subquantique s'exprime en inertie/m. Cela revient à la densité linéique des pôles de ℬodys . Ainsi nous montrons ici que c'est l'aspect "mécanique" du niveau subquantique qui est la source de l'aspect "électrique" du niveau quantique. Nous montrons ici comment transitent les forces magnétiques via la déformation des "cordes" ℬodys .   
             
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- Sceptique : selon le modèle OSCAR, la transposition entre la charge électrique et la longueur, est plus qu'une analogie car elle est la source physique du niveau subquantique. Mais comment relier cela avec .ℒ = Cte qui s'applique aux ℬodys et donc à l'électron ?

- Nous avions vu ici que les unités canoniques tenaient compte du reflet ℳ↔ . Comme = √(ℳ.ℒ), il vient naturellement de mélanger les unités de l'inertie et longueur, créant ainsi une seule unité commune, numériquement différente de . Ainsi, le facteur d'ajustement serait modifié. Donc, peu importe de prendre  ou (ℳ.ℒ), puisque fondamentalement, il s'agit de la même entité physique ! C'est juste une question de facteur d'ajustement numérique.

- Sceptique : que signifie la dimension "mécanique" du "champ" magnétique, M/L/T ? Comment physiquement, cette dimension permet la médiation magnétique ?

 - La trajectoire des pôles de ℬodys 1D, se décrit comme cette entité B (variation d'inertie par mètre et par seconde ou M/L/T). C'est le sort de chaque pôle subquantique lors de son amplitude depuis le point zéro jusqu'à sont point de rebroussement. Avec .ℒ = Cte, son inertie augmente avec la diminution du solde d'amplitude à parcourir et ce, dans un temps T. S'il est perturbé par une émission quantique de type B, alors sa trajectoire se déforme ou se courbe. C'est cette courbure qui est le vecteur de la médiation d'une émission magnétique !  

Sceptique : pour le BEC-fossile c'est au point de rebroussement que c'est produite la fusion entres pôles voisins. Comment la force de Coulomb a-t-elle eu le temps de fusionner lors du fugace arrêt du point de rebroussement ? 

- A ce stade, l'intervalle entre ℬodys est réduit à  ƛo = ƛₑ /𝜉. Or si l'épaisseur des cordes est dimensionnée à la longueur de Planck lP, son influence magnétique B est alors égale à l'intervalle ƛo = 𝜉 lP . De ce fait, le moindre resserrement amène la fusion entre pôles voisins. La force F de Coulomb f(ƛo) est égale à 𝜉² fois celle de l'électron f(ƛe). En divisant le gamma d'accélération (F/me) par la longueur de Planck lP, on obtient le carré du temps de Planck ! C'est précisément celui du temps d'arrêt au point de rebroussement. C'est ainsi que s'explique la fusion des paires, l'annihilation partielle et la fusion en neutrons-protons. Une fois la mitose réalisée (en 𝜉² BECs), l'intervalle 1D s'élargit à ƛₑ dans chaque BEC ce qui évite les fusions durant le micro temps d'arrêt du rebroussement.

- Sceptique : peut-on artificiellement recréer ces fusions de  ℬodys

- Oui il suffit de relire le mystère de la Z machine qui avec un courant de 20 millions d'ampères permet d'atteindre une fusion-annihilation avec un pic de température équivalent à 5/8 de celui de l'électron, ex pôle de ℬody. Le lien montre que les forces négatives de Laplace induisent un collapsage (collapsing) des fils (devenus plasma) de la cage, qui entrainent les pôles subquantiques vers l'axe. Ces derniers étant normalement écartés par les forces positives de Laplace exercées entre pôles voisins de courants contraires, sont ici contraints de se rapprocher et fusionner. Ce même phénomène se retrouve au sein des étoiles où un collapsage central revient à séparer les pôles de ℬodys qui sont éjectés au niveau quantique avec une vitesse relativiste saturée au ratio 𝜉. C'est exactement l'énergie maximale des rayons cosmiques que l'on mesure à 10²º eV.                    


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