Annihilation sur BEC fossile (animation)
Voir : modèle OSCAR, loi KOIDE-MAREAU, SOMMAIRE , Les cinq clés de la physique, l'éclaté du modèle, dualité du zéro
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Sur le BEC-fossile saturé, l'animation montre un secteur de la surface de la couche de rebroussement.
1/ Les charges électriques contraires s'attirent par la force de Coulomb.
2/ la superposition des charges les annule ce qui brise le lien entre les pôles de chaque ℬody.
3/ La forte variation des charges génère un fort di/dt (un court-circuit) qui rend fugacement la causalité entre pôles très éloignés car situés à l'opposé sur le BEC !
4/ C'est l'annihilation partielle qui élargit les intervalles entre les paquets en cours de fusion.
5/ Les fusions forment les neutrons et protons sur la seule couche de rebroussement !
6/ La fusion se généralise dans le même temps, en amas de galaxies → galaxies → étoiles. Les filament de galaxies témoignent du taux d'annihilation.
Le taux d'annihilation 1D est de 𝛼 = 137.035999 . Il explique le rayon de Bohr de l'atome d'hydrogène qui est 𝛼 fois plus grand que l'intervalle initial (entre pôles) qui est le rayon de Compton de l'électron.
Pourquoi ce taux de 𝛼 = 137,035999 est devenu la fameuse constante de structure fine ? La réponse est ici. La dernière image animée montre que le ratio entre trous et filaments – malgré les déformations de l'expansion – reste proche de 𝛼 = 137.035999 !
Pourquoi la fusion a produit des neutrons dont le corps neutre principale contient 1840 pôles devenus paires électron-positrons ? Tout simplement parce que la mitose (Big-Bang) – provoquée par deux causes différentes – avait besoin d'une variable d'ajustement (P = 1835,26). Cette variable d'ajustement est donnée via 5+1 rangs de mitose 𝛼² = (𝛼²)⁵⁺¹ et par le taux d'asymétrie (anisotropie) des intervalles (tangentiels / radiaux) = 𝜉². La réponse détaillée est ici.
1/ Les charges électriques contraires s'attirent par la force de Coulomb.
2/ la superposition des charges les annule ce qui brise le lien entre les pôles de chaque ℬody.
3/ La forte variation des charges génère un fort di/dt (un court-circuit) qui rend fugacement la causalité entre pôles très éloignés car situés à l'opposé sur le BEC !
4/ C'est l'annihilation partielle qui élargit les intervalles entre les paquets en cours de fusion.
5/ Les fusions forment les neutrons et protons sur la seule couche de rebroussement !
6/ La fusion se généralise dans le même temps, en amas de galaxies → galaxies → étoiles. Les filament de galaxies témoignent du taux d'annihilation.
La première vue est une portion de la couche saturée du BEC-fossile tapissée de pôles bleus et rouges
Le taux d'annihilation 1D est de 𝛼 = 137.035999 . Il explique le rayon de Bohr de l'atome d'hydrogène qui est 𝛼 fois plus grand que l'intervalle initial (entre pôles) qui est le rayon de Compton de l'électron.
Pourquoi ce taux de 𝛼 = 137,035999 est devenu la fameuse constante de structure fine ? La réponse est ici. La dernière image animée montre que le ratio entre trous et filaments – malgré les déformations de l'expansion – reste proche de 𝛼 = 137.035999 !
Pourquoi la fusion a produit des neutrons dont le corps neutre principale contient 1840 pôles devenus paires électron-positrons ? Tout simplement parce que la mitose (Big-Bang) – provoquée par deux causes différentes – avait besoin d'une variable d'ajustement (P = 1835,26). Cette variable d'ajustement est donnée via 5+1 rangs de mitose 𝛼² = (𝛼²)⁵⁺¹ et par le taux d'asymétrie (anisotropie) des intervalles (tangentiels / radiaux) = 𝜉². La réponse détaillée est ici.
Il faut bien comprendre que la brusque variation des charges, générée par le masquage, revient à relocaliser fugacement une majorité de pôles opposés, le temps de les annihiler.
RépondreSupprimerMais l'élargissement des intervalles, dû aux premières annihilations, permet de séparer (délocaliser) les pôles rescapés.
Il y a donc deux injonctions contradictoires :
a) le début du masquage génère un di/dt qui induit une relocalisation fugace pour annihiler
b) la fin du masquage délocalise (sépare) les pôles opposés sur le BEC-fossile.
Bon sang quand sur la gestion du déconfinement, j'entends des critiques exprimées selon : "il y a des injonctions contradictoires !", je me dis que beaucoup n'ont rien compris !
RépondreSupprimerLa ligne de crête du protocole est judicieusement faite pour justement prendre en compte les deux injonctions contraires que sont : a) confiner pour mettre la santé en premier objectif ; b) remettre en marche l'économie sans laquelle c'est la ruine de tous. La encore, les crétins-moralisateurs-je-sais tout, ne voient pas que – comme pour toutes choses – il y a une dualité à gérer. Quand est-ce que l'influence du monisme religieux, nous lâchera-t-il ?
1. quand la dernière couche du BEC sature, sur la limite extérieure du BEC géniteur, la couche suivante arrive 10^-54s plus tard, mais elle ne sature pas car l'équilibre du BEC a changé, en moins de 10-54s, sous l'impulsion des élargissements des intervalles et de l'annihilation partielle.
RépondreSupprimerDonc tout s'est passé en moins de 10-54s, ce qui peut en dire long sur la violence du phénomène.
Cependant, la physique que l'on connait ne s'est peut être pas encore appliquée, et cet intervalle de temps qui nous parait ridiculement faible, est apparemment suffisant !
2. alpha = 137,06.... est une signature de notre bulle univers. Mais se pose la question de sa valeur. Sur la couche qui sature, aucun des pôles n'a de position privilégiée par rapport à ses voisins surfaciques. Alors l'annihilation devrait concerner soit tous les pôles, soit aucun, sauf à ce que cette valeur de alpha soit le résultat d'un équilibre entre deux phénomènes contradictoires/différents.
Le proton est la variable d'ajustement entre les élargissements via Xi et alpha (mitose).
Mais finalement l'équilibre ne se fait t-il pas via le proton et alpha simultanément?
1- En fait l'intervalle temps (de Planck) = 10^-44 s évolue avec la diminution de la vitesse à c et donc s'agissant de la dernière couches, l'intervalle est : te = 10^-22 s. Mais effectivement cela reste très violent !
RépondreSupprimer2- Très bonne remarque qui laisse supposer que la répartition surfacique des pôles n'est pas parfaitement sans défaut ! En physique zéro défaut n'existe pas ! Cela veut dire que les premiers masquages (ceux dont l'intervalle était un petit peu plus petit que la moyenne) ont participer à sauver les autres par l'élargissement d'intervalle qu'ils ont provoqué. Nous sommes des rescapés !
Si l'annihilation peut se projeter sur la surface de saturation, elle se fait plus en fonction des 5 étapes de mitose. La première étape annihilante est suivi d'une première division-écartement qui elle-même se traduit par un élargissement. Cela veut dire que les fins de masquages à suivre sont de moins en moins violent (di/dt) . Il y a naturellement un phénomène d'amortissement. Il y a en effet 3 facteurs d'amortissement par élargissement :
a) l'annihilation
b) la mitose
c) la contraction-fusion en neutron-proton.
A cela il faut rajouter (plus tard) la fusion en grandes structures qui éloigne encore le tout. La préformation des 5 grandes structures de la Bulle-Univers est générée par la mitose fractale.
(1) nuages de neutron-protons → (2) grands amas (et filaments) → (3) amas → (4) galaxies → (5) BEC-étoiles.
Cet ordre chronologique est inverse de celui du modèle standard mais à l'échelle de temps cosmologique, on peut dire que tout se forme en même temps !
Merci !
RépondreSupprimerpour le 1. faut-il voir cette diminution de la valeur locale temps comme une sorte de règle similaire à la relativité restreinte (espace temps intimement lié), ou bien c'est juste le fait que comme les intervalles s'élargissent alors les périodicités changent (car la vitesse c reste constante)?
pour le 2. on en déduit qu'un BEC n'est jamais parfait, même si toutes les particules qui le composent sont dans le même état quantique.
Le 1 est juste la clé pour conserver les intervalles : le temps subquantique variable permet la constance du temps élémentaire quantique qui garantit la vitesse c.
RépondreSupprimerOui pour le 2. En physique le parfait est aussi interdit que le zéro math absolu.