Fondamentalement, le temps est décliné de l'oscillation de l'inertie
Étienne KLEIN pose un certain nombre de questions opportunes et fouillées sur "l'origine" du temps. Il évoque les différents mythes dans lesquels le temps est souvent vu comme une chose existant déjà dans un univers préalable. Il explique ensuite qu'en physique, la flèche de temps est irréversible. Les lois fondamentales des autres paramètres sont réversibles mais pas le temps ! L'origine ne doit pas être confondue avec l'écoulement du temps. Il cite les chinois pour qui la notion d'origine n'a pas de sens puisqu'ils raisonnent en terme de dualité ou de polarités opposées et contraires. Le terme d'origine est avantageusement remplacé par la notion de transformation. Le langage occidental étant basé sur le concept matériel et de création alors qu'il ne s'agit que d'évolution.
Ce principe fort de dualité commence par la nature des zéros (mathématique et physique). Le zéro physique est strictement à base de symétrie alors que le zéro mathématique – de type absolu – ne concerne que les nombres dépourvus de paramètres physiques.
Ainsi on montre que chaque "point" de la Matrice-Univers est l'objet d'un duel entre l'attracteur du zéro inertie M = 0 et la probabilité infinie de ne pas l'atteindre (M > 0). Chaque "point" est contraint d'osciller entre ces 2 états impossibles. Ces oscillateurs se présentent sous la forme de "corps" ou Bodys (Boson Oscillateur Dipolaire Yin yang Stochastique) muni d'un zéro physique relatif à la parfaite symétrie. A défaut d'obtenir un M = 0, la Nature a inventé le zéro physique issu de la symétrie offerte par l'aspect dipolaire de l'oscillateur fondamental. On montre que du concept d'inertie M est décliné le concept d'espace L, de charge électrique Q et de temps T. Le couple M.L = Cte, se comporte comme le couple (x, y) décrit par l'impulsion de Dirac. C'est l'exigence de symétrie qui masque les pôles, dans le brouillard stochastique fait d'une infinité de Bodys.
Épistémologiquement 5 erreurs fondamentales ont été commises :
- 1/ la classification des particules qui mélange l'électron unique par sa stabilité avec des particules instables telles que le muon.
- 2/ appliquer l'exclusion (orbitale) de Pauli aux noyaux des atomes et éluder la symétrie complète entre l'électron et le positron même si le positron stable est toujours confiné dans les noyaux. Cela implique des quarks induits et non constitutifs.
- 3/ évoquer "l'univers" moniste alors qu'il comporte deux parties ou deux états. La Matrice-Univers n'a pas de centre alors que la Bulle-Univers en expansion en a un !
- 4/ poser une fausse symétrie entre électron et proton dont le ratio de masse est de 1836 ! Il est plus sage de considérer que la particule symétrique de l'électron est le positron (stable) mais toujours confiné dans les noyaux.
- 5/ éluder la dualité des zéros et la dualité de localité (voir intrication). Croire que le zéro et l'infini sont applicable aux paramètres physiques alors qu'ils ne peuvent comptabiliser des entités neutres (pas de M,L,T). Avec Christian Magnan nous dénonçons depuis longtemps cette aporie.
L'inséparabilité quantique du couple ML=Cte, permet de réduire l'arbitraire des unités principales à deux. Ci après le temps te de l'électron est montré comme une déclinaison du couple ML tout comme la charge élémentaire.
Voir : modèle OSCAR, loi KOIDE-MAREAU, SOMMAIRE , Les cinq clés de la physique, l'éclaté du modèle, dualité du zéro
Dans l'oscillateur Bodys, l'énergie n'émerge pas mais en revanche il existe une force (confinée) indispensable pour garder l'intégrité symétrique entre les deux pôles pour garantir le zéro physique. Cette force se décompose en deux entités qui se compensent ML et T² de telle sorte que ML / T² = F = Cte. L'entité ML – forcée d'exister – génère T² par symétrie. La force F est obtenue par l'interaction des charges opposées Q² = f(ML). On voit clairement que Q² et T² sont des images de ML.
RépondreSupprimerPour la charge élémentaire e², dimension de : 1 / 4 π μo = 10^7 est : Q² / ML ou I² T² / ML alors que pour 10^(7/3) la dimension est T²/ML.
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