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Dualité stato-dynamique du positron célibataire du proton

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- Sceptique : on a vu que le rayon du proton est très précisément proportionnel au quart de sa masse, par rapport à celle de l'électron (ratio = 1836,15 / 4 = 459,038) . Ainsi partant du rayon de Compton de l'électron, on retrouve le rayon mesuré – si et seulement si – le proton est divisé en 4 groupes . Par ailleurs on montre que les quarks sont induits par : - les 4 –1 = 3 intervalles polarisés pour les baryons (3 quarks) - les 3 –1 = 2 intervalles polarisés pour les mésons  (2 quarks) - les 1 – 1 = 0 intervalles polarisés pour les leptons  (0 quarks)  Et enfin, la division en groupes entiers et pairs , répond toujours à cette loi. Mais comment expliquer que le proton conserve toujours son positron confiné, célibataire ?  - Le tableau joint montre en simplifié, comment l'intervalle n°3 et la couche n° 4, se polarisent d'autant plus fort que s'approche le positron. Ce dernier ne demande qu'à retrouver sa taille de Compton (en sortant de l'at...

Levée de 4 énigmes du neutron

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- Sceptique : le modèle standard s'étonne que le neutron puisse avoir un moment magnétique alors qu'il est réputé neutre .  Il s'étonne également du delta entre sa formulation et la réalité mesurée . Enfin, il ne donne pas d'explication à la négativité constatée de son moment magnétique ! Le modèle Oscar a-t-il des solutions à ces trois énigmes ? - Oui et il répond même à une quatrième énigme sous-jacente, la symétrie matière/antimatière.  Comme pour le proton et selon la loi koide-Mareau , le neutron possède 1840 unités (électron-positrons) divisées en 4 groupes de couches, formant sa partie principale et neutre. A cela se rajoute (voir le dessin) un couple confiné d'électron-positron où l'électron se trouve placé vers l'extérieur.     - Sceptique : pourquoi l'électron se trouverait plus à l'extérieur ? - Au début de la mitose – où tout était causalement relié – un choix aléatoire a polarisé les deux échelles : subquantique et quant...

L'anomalie magnétique du proton est résolue

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- Sceptique : le modèle standard ne sait pas expliquer l'énorme anomalie du moment magnétique du proton . Que dit le modèle oscar à ce sujet ?  - La seconde formule du tableau, montre que le modèle standard divise la masse de l'électron par 1836.15 pour obtenir le moment magnétique du proton. C'est la bonne application de la loi ML = Cte où Le rayon L est inversement proportionnel à la masse M. Cependant, le MS n'intègre pas que la même règle confirme le rayon mesuré si on tient compte des 4 groupes qui le structure. La 3eme formule montre qu'en remplaçant h par les paramètres de l'électron, on peut calculer l'anomalie de l'électron en fonction de son rayon. La 4eme formule montre que le moment du proton est juste celui de son positron confiné, adapté au rayon. LA 5emme formule montre le coefficient qui donne la côte relative à l'intérieur du proton. En fait l'anomalie excessive ne vient pas du proton mais de la formule standard ! Le ta...

Record de précision pour l'anomalie de l'électron

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- Sceptique : on a vu que la cause de l'existence de particules éphémères – telles que pions et tauons – dépend de la loi de l'information liée au très grand nombre de dipôles structurant l'espace-temps. Comment se fait-il que les protons et muons, soient les seuls à dépendre de l'émergence des dipôles délocalisés et donc la matière ?  - Le tableau de ce précédent article montre qu'il existe en effet deux sources principales pour les particules : a) celle ayant trait aux dipôles tissant l'espace-temps ; b) celle ayant trait aux dipôles séparés et donc devenant pôles (délocalisés) ou matière. Dans la seconde source, le proton (donc la matière) existe de par son rôle de variable d'ajustement entre les deux sources de la mitose. La première source est générée par le taux 2D d'anisotropie des intervalles 𝜉² et la seconde est générée par 6 étapes de mitose 𝛼². Le couple {neutron → proton} est donc né à l'origine de la mitose, ne concernant que ...

La preuve par 5 des liens entre (muon, pion πº pion π⁺, proton, tauon)

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- Sceptique : que signifie ce supplément de cohérence entre 5 particules composées d'électrons, dans la mesure où elles sont exprimées en nombre entiers d'unités "électron nu" ?   - Il y a déjà une explication inédite de leur existence ! Les masses brutes indiquées dans le tableau, montrent une nette différence entre le proton stable et les 4 autres particules. Le proton est né à l'origine par délocalisation , comme variable d'ajustement entre les deux causes de la mitose. Les 4 autres, sont instables car elles sont créées à partir de l'expression locale d'une énergie ! - Sceptique : concernant la création locale de particules instables, si l'énergie est le "hard" nécessaire, ne  leur faut-il pas un "soft", (une raison, une information), pour les caractériser ? - Oui et cette information est similaire à la loi de Boltzmann ( S = k ln W ) qui spécifie les organisations macroscopiques possibles d'un très gra...

La seconde erreur du modèle standard

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- Sceptique : la première erreur ( discutée ici ) consiste à ne pas admettre la dualité de localité de création qui réconcilie la parité {matière-antimatière} en ouvrant la voie à la brique élémentaire {électron-positron} stable et confinée comme élément unique de toutes les particules composites. Quelle est la clé de la seconde erreur ?    - Elle découle de la première : les quarks sont induits et non constitutifs. Les particules de type : {instable → création locale} ou {stable → création non locale} sont toutes faites de couches neutralisées et concentriques + 1 électron célibataire ou 1 positron célibataire. Ces couches sont organisées en N groupes et les intervalles polarisés (N– 1) induisent les quarks. Par exemple, la charge du proton est bien celle d'un positron et le rayon du proton se calcule bien avec 4 groupes de couches ! L'origine de la masse des paires { électron-positrons} est expliquée et par voie de conséquence, celle des particules composites. ...

La première des graves erreurs du modèle standard

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La première des graves erreurs du modèle standard est d'ignorer les conséquences de la dualité de  localité pour caractériser les créations de particules. Quand ces dernières sont créées localement elle sont toujours instables ! Or on sait que la création originelle par la délocalisation généralisée, rend stables , les électrons-positrons et donc les protons ! Le modèle Oscar explique dans le détail, le double piège :  a) pourquoi les positrons sont toujours confinés ;  b) pourquoi lorsqu'ils sont émis d'un noyau instable, ils toujours de création locale et confinée et donc instables.    De ce fait,  toutes les particules composites sont des assemblages de paires entières d'électron-positrons confinées . Si leurs masses mesurées sont exprimées en nombres non entiers c'est parce que la base "unité électron" e , est elle-même habillée . C'est pour cela qu'un proton mesuré à 1836.15 e habillées, en contient 1841 unités nues. Il e...