Enigme 44 : la longueur de Planck

Voir  : sommaire des énigmes , les cinq clés de la physique fondamentale  et l'éclaté du modèle Oscar.



- Sceptique : la longueur de Planck est tirée de la simple analyse dimensionnelle entre les 3 grandes constantes de la physique : G, ħ, c. Le modèle standard considère que c'est la taille de l'univers naissant à partir de l'énigmatique énergie du point zéro. Que dit le modèle Oscar à ce sujet ?

- Déjà il faut voir que ces constantes ne sont pas aussi canoniques que l'on croit ! Elles dérivent toutes des paramètres physiques des paires {électron-positrons}, elles-mêmes issues des pôles séparés des ℬodys et du fameux ratio ξ . Ensuite la forme canonique de la loi de Compton  – ℳ.ℒ = Cte – indique que la longueur de Planck lₚ , correspond au rayon de Compton de l'électron ƛₑ , divisé par le taux de mitose, ξ². C'est exactement le rayon d'un "tube" ℬody ! Si la mitose de taux  ξ², n'avait pas eu lieu, la condensation de ξ² paires électrons-positrons aurait eu la masse de Planck et donc ce rayon de Planck.

- Sceptique : Y-a-t-il une autre moyen de confirmer le lien entre un pôle de ℬody et un électron ?

- Oui par le volume ! En effet on peut vérifier que le volume de Compton d'un électron :  ƛₑ³ = 5,75×10⁻³⁸ m³, est strictement égal au volume d'un pôle de ℬody du BEC-fossile. Avec l'intervalle critique : i = lₚ ξ et son épaisseur lₚ on obtient le volume : i lₚ R = ƛₑ³ avec R, le rayon du BEC et donc l'amplitude spatial d'un oscillateur ℬody.

- Sceptique : quel est le lien avec le point zéro du BEC-fossile ?

- On a vu que le rayon du point zéro du BEC-fossile saturé est égal à : z = ƛₑ ξ = 0,059 m ~ 5,9 cm . Or on vérifie : lₚ = ƛₑ³ = 5,75×10⁻³⁸ m³ . L'électron est bien issu de ce moment critique lié à la saturation des ℬodys du BEC-fossile. On retrouve bien l'intervalle critique qui confirme la présence de ξ⁴ pôles sur l'aire du BEC fossile. On a montré également que cet intervalle i est celui nécessaire à la force coulombienne pour attirer et fusionner les pôles de ℬody, en neutron-protons.

- Sceptique : et que dire de l'énigme de l'énergie du point zéro vu par le modèle standard ?

- Le point zéro du BEC n'a rien à voir avec le mystique "fiat Lux" du modèle standard. D'une part, son énergie est nulle et d'autre part, son rayon n'est pas la longueur de Planck ! Le "point zéro commun" des ℬodys est associé à leur amplitude qui forme le rayon  du BEC-fossile : R = 150 mille années-lumière. Quant à l'énergie de point zéro des ℬodys constitués, elle est strictement annulée par la structure dipolaire de ces derniers. Dans le confinement de chacun des pôles constitutifs, c'est l'impulsion de Dirac qui est à l’œuvre à cause du fameux paradoxe existentiel régi par :  ℳ → 0 ⇒ ℒ → ∞ et par les deux états impossibles : ℳ  = 0 ; ℳ  > 0 ! Ce paradoxe est la cause profonde de l'oscillation de type dipolaire. Pour toutes origines inertielles au plus près du zéro, il existe une contrepartie "amplitude" à assumer. L'inertie ne peut-être nulle car la contrepartie serait impossible car infinie ! Cette règle, valable pour chaque ℬody stochastique, s'applique également dans le point zéro commun synchronisé du BEC-fossile.
          

    

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