Enigme 96 : un anneau galactique !

Voir  : sommaire , les cinq clés de la physique, l'éclaté du modèle, dualité du zéro.

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Situation du problème

La publication du 3 janvier dernier de mon ami Richard Olivier HARTMANSHENN, traduit un article qui nous indique que le télescope CFHT a découvert un mystérieux anneau autour d'une galaxie éloignée. Cet anneau géant a un rayon de 190 000 années-lumière de rayon, soit 4 fois le rayon de notre galaxie. Dans le modèle standard, rien n'explique une telle configuration et c'est donc une énigme de plus. Généralement on ne fait que rajouter une nouvelle hypothèse pour tenter d'expliquer un nouveau phénomène. Le modèle en couches (de BECs) Oscar explique directement ce genre de phénomène sans rajouter d'hypothèse. Ce modèle indique que les collisions de galaxies sont des relocalisations partielles de la matière originelle ! L'existence de la matière tient justement au fait qu'elle a subi une {relocalisation-délocalisation} généralisée ! Cela revient à une séparation des éléments de chaque pôle d'oscillateur-ℬody, ancêtre de la paire élémentaire {électron-positron}.

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 - Sceptique :  comment une collision peut-elle "relocaliser partiellement" ?

- Venues d'origines différentes, ces galaxies fusionnent selon un certain angle qui les séparait initialement lors de la mitose Big-Bang. Mais pour qu'une annihilation soit binaire ou complète, il faudrait que l'écart angulaire soit de 𝜋 ou 180 ° ! Dans le contexte de l'univers en expansion, les angles sont nettement plus faibles. Donc l'annihilation est incomplète (quelques %) et cela dégénère les paires élémentaires. Leur période ne présente alors plus un ratio entier avec celle des oscillateurs-ℬodys structurant l'espace-temps. Deux conséquences sont induites : a) le taux de couplage est diminué ; b) la fusion en hydrogène devient impossible à cause du désaccord de fréquence. C'est la clé de la matière noire. 

- Sceptique : mais alors pourquoi cette matière dégénérée devient-elle noire ? 

- Parce que les paires {électron-positron} ainsi désynchronisées ne se condensent plus en proton-neutron et n'émettent plus à la longueur d'onde de 21 cm qui trahit la présence de l'hydrogène. Elles deviennent comme une bouillie informe mal couplée avec le niveau subquantique et perdant ainsi une partie de leur capacité gravitationnelle. 

- Sceptique : comment se forment ces anneaux galactiques ? 

- La collision fabrique beaucoup de matière noire (DM) et donne une impulsion globale aux belligérants. Le couplage subquantique affaibli de la DM l'amène à émigrer vers l'extérieur du halo galactique. Elle entraine avec elle les parties de matières ordinaires rescapées. 

- Sceptique : mais la matière ordinaire doit-être retenue par la gravitation ? 

- Exact mais le couplage moyen du "nuage" global est plus faible. De ce fait c'est la DM qui maîtrise le jeu. Cependant, il faut rappeler que le modèle n'est cohérent qu'avec la composante constante de la gravitation, propre au BEC. Cette composante – très faible – passe inaperçue à faible distance du centre. Mais vers les limites du "nuage de BECs" ou halo, cette composante domine largement alors que l'impulsion originelle de la collision, est épuisée. 

- Sceptique : comment, vers les limites du halo, l'ensemble VM + DM tend a créer une condensation en forme anneau ? 

- Au delà de la limite des BECs condensés formant halo (hôte de la galaxie), se trouvent les BECs intergalactiques qui eux contiennent très peu de masse VM (V comme visible). Comme cette composante constante dépend de la densité de VM, le couplage avec la composante constante de gravitation passe brutalement à presque zéro ! Cela se passe comme entre l'amont et l'aval d'un péage  autoroutier. La forte densité disparait d'un coup. 

- Sceptique : est-ce pour cela que l'expansion ne concerne pas les galaxies ? 

- Exact ! De plus, la limite extérieure très marquée de l'anneau, trahit ce changement du taux de couplage.