Enigme 89 : la Bulle-univers est un trou noir

Voir  : sommaire , les cinq clés de la physique, l'éclaté du modèle, dualité du zéro.

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Situation du problème

Le modèle standard admet plusieurs solutions à l'expansion de l'univers : a) s'il est fermé (sphérique), il finira en  Big Crunch ; b) s'il est "plat", son expansion s'arrêtera à l'infini ; s'il est "ouvert", son expansion sera sans fin. Cependant ce type de calcul dépend d'hypothèses telles que la mono-connexité ou le principe cosmologique. L'univers ne peut se traiter comme  un gaz continu et d'ailleurs ces deux hypothèses sont aujourd'hui battues en brèche. L'analyse dimensionnelle permet de poser une densité critique selon 3H²/8𝜋G. Mais en réalité RH = H c qui n'est pas R(t) le rayon réel actuel de l'univers. Ce dernier est plus de 8 fois plus grand. Par ailleurs le modèle en couches montre qu'il n'y a pas homogénéité de densité, ce qui induit un calcul plus complexe. Le modèle en couches s'appuie sur des bases incontestables telles que le strict respect de symétrie, la dualité généralisée, le paradoxe existentiel lié à l'impossibilité du zéro absolu et la clé de la localité. Sur ces bases,  le modèle explique la cause du Big Bang par la suite : matrice stochastique → synchronisation partielle en un BEC → saturation → mitose-expansion. La symétrie exige que le cycle de la Bulle-Univers soit géré par la dualité entre l'action de la gravitation et l'impulsion initiale. Cette exigence de symétrie globale, se traduit par un bilan énergétique nul et donc une amplitude finie pour l'expansion. Cette finitude coïncide avec le retour à l'état stochastique où la rupture de symétrie globale se transforme en symétrie propre à chaque oscillateur-ℬody fut-il redevenu stochastique dans la matrice éternelle de cet état d'univers.
 
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 - Sceptique : qu'est-ce qui prouve que la Bulle-univers est un trou noir ?

- Le modèle en couche implique une Bulle-Univers (plongée dans la matrice-Univers) se comportant comme un oscillateur. Il est la consolidation de tous les oscillateurs-ℬodys qui sont devenus matière via la réduction de localité originelle. Le tableau montre que les lois connues des oscillateurs, coïncident avec celles qui gèrent les trous noirs.

- Sceptique  : comment consolider les N oscillateurs devenus paires électron-positrons ?

- Il y a 𝜉² BEC-fils qui, pour l'amplitude finale, doivent se conformer en quasi 2D comme lors de leur naissance par mitose du BEC-fossile. Comme le rayon d'un BEC est déterminé par l'amplitude d'un oscillateur-ℬody, alors l'amplitude finale doit atteindre 𝜉 fois le rayon du BEC-fossile.

- Sceptique : le tableau indique-t-il que la formule de la masse volumique critique du modèle standard est dans l'erreur ?

- Non elle est appropriée au modèle mais c'est le modèle qui est bien trop simpliste ! En revanche, le modèle en couche débouche directement sur l'accélération de l'expansion. De plus, il précise que cette expansion n'est que locale ! Il n'est nul besoin de faire des hypothèses supplémentaires. Ainsi la masse volumique (moyenne) ne dépend pas de l'inverse du temps passé mais du rayon réel actuel. L'expansion n'a rien à voir avec la propagation de la lumière à vitesse exclusivement réglée à c mais elle varie de 0 à 5 c.

- Sceptique : pourquoi la masse volumique finale (1,7×10⁻²⁸ kg/m³) est plus élevée d'un facteur 1,7 que celle relative à R(t) alors qu'elle devrait-être plus faible ?

- Les couches de BEC-étoiles sorties de la mitose initiale en 2D tendent à terminer le cycle en 2D après avoir été de type volumique  (3D) durant l'expansion. Cela veut dire que le volume final est altéré par le volume "vide" en croissance lui aussi. Ainsi le ratio de 1,7 trahit la diminution de l'épaisseur de la coque sphérique. 

- Sceptique : a-t-on des indices qui montrent qu'il existe un volume "vide" en croissance ? 

- Oui tout concorde car ce trou "vide" est visible du côté de l'éridan. Avec une taille mesurable aujourd’hui à 1 Gyl (rayon réel plus grand à cause de l'effet retard) ce volume vient en déduction de plus en plus prégnante, de la Bulle-Univers, au fur et à mesure de sa croissance.

- Sceptique : pourquoi la formule d'Eddington est diminué de 𝛼² ? 

- Si elle ne l'était pas la coque finale aurait l'épaisseur d'un BEC (0,3 Gyl) pour 296 Gyl, soit ~1/1000. Mais l'annihilation primordiale a sévi à toutes les échelles et donc à celle des BECs. L'intensité numérique de cette relation se vérifie avec les 4 autres avec plus de 12 chiffres significatifs. Cela participe à la Grande Cohérence & la paire électron-positron, pivot du modèle. 

- Sceptique : de quoi est fait ce trou "vide" ?

- Il est la manifestation de la matrice stochastique. Il est rempli de ℬodys  non connexes ayant perdu leur synchronisation. La menace de mort de la Bulle-Univers synchronisée est non seulement présente autour mais également dans sa bulle intérieure. Comme on l'a déjà vu, la surface d'échange avec la matrice stochastique, augmente rapidement. Ainsi le flux d'influence stochastique de l'entropie de désordre, l'emporte de plus en plus sur la synchronisation interne. C'est exactement ce qui se passe pour la vie biologique où l'entropie croissante externe l'emporte sur la synchronisation interne qui est la clé du maintien en vie !         
  
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Ratios universels : 𝛼 = f(𝜉). Série 𝜉, n =1 à 5 :  lP ƛo ƛₑ PZ RBEC.  𝜉 = 1,54 ×10¹¹ ; 𝜉² = mPlanck  / mélectron ; 𝜉³=RBEC / ƛₑ ; 𝜉 = EM / EG ; 𝜉 =RBEC/lP ; = mₑ ƛₑ²/ t
Anisotropie (tangentielle / radiale) du BEC-fossile 𝜉 / 𝜉³ = 𝜉 déclenche la mitose-expansion des oscillateurs  ℬodys
Le ℬody suit la loi de Compton : ℳ.ℒ = Cte
paradoxe existentiel né de deux interdits : = 0 ; ℳ  > 0
Point zéro ℬody selon impulsion canonique de Dirac ∂() d = 1
Les pôles s'annulent selon l'identité d'Euler : eiπ + 1 = 0. 
L'aspect algébrique de permet la symétrie :  ℳ.ℒ' +ℳ.ℒ = 0
l'opérateur dipolaire→monopolaire révèle les pôles { }

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Commentaires

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  2. Au cours du temps, la communauté scientifique a porté un intérêt variable aux coïncidences dimensionnelles. Par exemple celle d'Eddington a été négligée sans raison... En fait si : son équation mettait en avant le rôle primordial de l'électron. Il y a deux croyances (sic) qui ont la peau dure : croire au zéro physique absolu en physique et faire semblant de croire en une symétrie entre le proton et l'électron (c'est un vélo comparé à un camion) . Bien que l'on sache que le premier est le seul corpuscule à être à la fois {libre + élémentaire + stable} et que le second est composite, on reste figé sur des vieilles lunes. De ce fait on pose un ratio faux entre la force coulombienne et gravitationnelle. Cette psychorigidité ambiante se voile la face sur le ratio {masse Planck / masse électron} qui colle pourtant parfaitement avec le ratio coulomb / grave et.... avec la formule d'Eddington et... toutes celles du modèle Oscar. Ces croyances débouchent sur des incuries devant tant d'énigmes soulevées. Cela encourage des croyances exacerbées chez certains extrémistes. Devant ces menaces sur le monde, les scientifiques ont une grande responsabilité qu'il serait temps d'assumer. Ce n'est pas en se contentant d'évoquer une "singularité" de type "Fiat Lux" que l'on repoussera la menace des religions intégristes.

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  3. Bonne année 2020 Mr Mareau,
    la bulle univers serait un trou noir très particulier car:
    - son centre serait situé en dehors de lui même (centre, au sens centre de gravité, serait situé dans une bulle d'univers stochastique en extension, extérieure à la bulle univers, mais intérieure à son volume !)
    - son rayon serait en expansion alors qu'il a plutôt tendance à perdre de la masse (annihilation totale ou partielle de la matière)
    - son extension se ferait à 5c

    Cela pose plusieurs questions:
    - à la différence de tous les trous noirs qui sont locaux, le trou noir bulle univers est-il un trou noir non local?
    - comment se perpétue la synchronisation de tous les BECs fils entre eux, alors qu'il n'y a pas/plus de centre? Est-ce la perturbation de la matière qui force cette synchronisation ou bien l'immense inertie de la synchronisation des xi^11 BODYs non séparés? ou bien les deux?
    - qu'arrive t-il aux photons ou neutrinos émis au sein de notre galaxie et qui arrivent sur le bord intérieur en extension du trou de l'Eridan? Sont-ils "dilués" sur cette surface sphérique ou bien rebondissent-ils en sens inverse ou simplement déviés vers la bulle univers?
    - Autant tous les photons/neutrinos produits au sein de la bulle univers ne peuvent pas atteindre la limite extérieure de la bulle univers, autant une partie significative peut atteindre la limite intérieure de la bulle univers (limite du trou de l'Eridan): c'est comme si l'extérieur de la bulle univers était justement ce BEC fossile en extension, enveloppé de la bulle univers, lui même enveloppé de l'univers.
    - il est peu concevable que l'univers stochastique soit séparé en deux, dont la frontière serait la bulle univers. Donc:
    1. soit le trou de l'Eridan n'est pas de l'univers stochastique, et dans ce cas qu'est ce qu'il est alors?
    2. soit l'état univers stochastique est également présent/superposé dans la bulle univers, permettant une "continuité" de l'état stochastique.
    L'univers aurait alors deux états superposés: un état à l'entropie maximal, un autre, limité, à l'entropie minimale.

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  4. Meilleurs vœux Laurent,

    - Le principe de localité n'est pas en jeu ici même si effectivement, il y a un facteur d'échelle car toutes les localités sont quasi identiques.
    - Il n'y a pas de synchronisation entre les BECs mais juste un interpénétration où une composante constante gravitationnelle s'oppose au désenchevêtrement en cours.
    - l'état onde des photons est à la fois : déviée, reflétée et diluée car la matrice stochastique n'offre pas de moyen de propagation. Il n'y a pas de chocs et donc l'état onde reste sans réduction du paquet d'ondes.
    - L'état stochastique peut se diviser à souhait, rien ne l'empêche car c'est la seule expression possible pour le "vrai vide". En fait le bord (interne ou externe) est un lieu d'influence où la synchronisation est en perdition. En clair il existe une limite floue comme un "no man's land" où la néguentropie perd de l'influence au bénéfice de l'entropie (de désordre). Cette frange "pétillante" est d'ailleurs observée vers l'éridan mais elle est mal interprétée.
    - En effet, l'univers a toujours 2 états superposés. L'état matrice stochastique – sans écoulement du temps (pas de M,L,T) – contient toujours une Bulle synchronisé en cours car l'intervalle entre deux est nul du point de vue temporel. En revanche, du point de vue statistique (brassages aléatoires) le nombre est quasi infini. Si on suppose que la moyenne des fréquences internes des Bodys stochastiques, n'est pas très éloignée de celle de l'électron (10^-21 s) alors on peut dire que cet "équivalent temps" pour mener une Bulle à terme, est (10^100)^1000 fois long que le temps de notre Bulle. Cette approximation reste valable même si le ratio d'erreur portant sur l'équivalence du temps élémentaire moyen, valait 10^100 ! C'est cela qui fait dire qu'il existe TOUJOURS deux états superposés. Cela veut également dire que si d'autres Bulles sont en cours (ce doit être le cas) elles n'ont aucune chance d'être contemporaines à la nôtre. Je rappelle que justement le principe d'influence fait que l'allure de création d'une bulle évolue exponentiellement. L'en cours est une succession d'échecs et c'est seulement les phases finales qui peuvent prétendre à être l'élue. Mais ce régime exponentiel rend impossible les ex æquo ! Il n'y a qu'une seule Bulle-Univers à la fois. Tout le reste n'est que spéculation car basé sur aucun argument physique.

    Un prochain billet portera sur la DUALITÉ fondamentale de l'échelle globale.

    NÉGUENTROPIE + ENTROPIE = 0

    La formule d'Euler – valable pour le Body – l'est également pour la somme des deux états d'univers.

    SI ON CHERCHE UN NÉANT ALORS IL EST LA... MAIS .... IL N'EST PAS ABSOLU.

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